Le besoin de sécurité et de reconnaissance des policiers lui, ne peut attendre !
Cet après-midi à la Chambre, j’ai eu l’occasion de revenir une fois de plus sur les revendications de la police et la grève entamée pour 48h.
Ce gouvernement semble rester sourd aux appels urgents des policiers : conditions de travail, manque d’effectifs, pensions, violences à leur encontre.
J’ai exhorté le gouvernement à prendre d’urgence ce dossier à bras le corps.